Département de recherche scientifique

  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.
  • • Date de livraison : Juin 2007 • Ville : rue de Morvan, Vandoeuvre-les-Nancy (54) • Maitre d'ouvrage : Institut National de Recherche sur la Sécurité • Coût : 5.2 m€ HT / SHON : 3 786 m² • HQE • Programme : -Laboratoires -Bureaux des chercheurs -Salles de conférence -Hall d'exposition NOTE D’INTENTION Le département N° 26 s’inscrit comme la première phase d’un projet urbain plus global de transformation du site de l’INRS à Vandoeuvre-les-Nancy. Il regroupe les nouveaux espaces de travail de 2 équipes de chercheurs : « EPIDEMIOLOGIE EN ENTREPRISE » et « HOMME AU TRAVAIL ». Pour conforter la façade urbaine de l’INRS sur l’avenue de Bourgogne, nous avons repris le rythme en épi des bâtiments existants, en implantant deux ailes perpendiculaires à l’avenue, occupées par les espaces de travail et les laboratoires. Ces deux corps de bâtiment sont reliés par une aile centrale, qui accueille tout naturellement les locaux les plus collectifs et referme la figure en U. Le hall, conçu comme un espace traversant, s’ouvre largement sur un patio au sol végétal, planté de bouleaux. Le long de la façade d’entrée largement vitrée, deux trémies dans les planchers des niveaux +1 et +2 permettent de créer un bel espace vertical, qui relie visuellement pour leur redonner une unité, toutes les sections du département « Homme au travail » organisées sur 3 étages différents, du rez-de-chaussée au niveau +2. L’équipe « Epidémiologie en Entreprise », au fonctionnement autonome, occupe l’ensemble du niveau +3. Le patio est traité dans des tons chauds, des panneaux d’Alucobond ton cuivre, en opposition avec la couleur blanche des panneaux de béton poli de l’enveloppe extérieure du bâtiment, afin d’être perçu comme un « espace intérieur privatif ». Deux passerelles extérieures au garde-corps en verre structurel particulièrement léger, animent par leurs obliques la proportion rectangulaire du patio, sans la refermer. Aux niveaux +1 et +2, ces deux raccourcis permettent aux chercheurs d’aller d’une aile à l’autre sans forcément repasser par le centre. Pour répondre aux attentes de l’INRS, nous avons cherché à nous éloigner : - de l’image purement industrielle, non justifiée par la petite taille des laboratoires, du fait de l’augmentation des expériences virtuelles. - de l’image trop banale des immeubles de bureaux redivisibles. - de l’image trop monumentale d’un équipement public d’enseignement supérieur, par exemple. VOLET ENVIRONNEMENTAL : Bien que l’INRS n’ait pas recherché une certification HQE en 2003, son cahier des charges sur ce sujet était déjà très détaillé, avec comme cibles très performantes la réduction du coût énergétique et la flexibilité des espaces de travail. Pour y répondre, nous avons proposé : -Un plan en U, pour créer un espace protégé du soleil et des vents dominants, le patio. -Des façades porteuses en béton banché, pour offrir des travées continues de 12m de large, libres de tout point porteur, qui conviennent aussi bien à 2 bureaux qu’à un laboratoire. - Le regroupement des gaines verticales de fluides en partie centrale, pour que toutes les cloisons perpendiculaires aux façades soient démontables, selon une trame de 1,80m. -Une isolation reforcée extérieure, et des façades “manteau” en béton préfabriqué de grande dimension ou en alucobond. -Des percements pour les façades Sud et Ouest réduits par rapport aux façades Est et Nord. -Des brise-soleil extérieurs à lames mobiles à commande automatique pour les façades Sud et Ouest. -Le contrôle de la température des espaces de travail par un plafond composé de bacs métalliques perforés actifs : chaud ou froid par induction et non soufflage, grâce à une circulation d’eau dans une résille de tuyaux. Ce procédé, beaucoup plus confortable qu’une climatisation standard, est équipé de vannes de réglage qui reprennent la trame de façade et de cloisons de 1,80m.